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Mostrando entradas de marzo, 2013

L'AMOUR, TOUT SIMPLEMENT

Quand le Parlement espagnol a voté la loi 13/2005 qui modifiait le Code Civil en matière de mariage, le monde entier parlait du grand progrès que cela signifiait après tant d'années de lutte et de discrimination. Cependant, le monde entier n'existe pas, car il y a une partie du monde entier qui refuse que les libertés s'appliquent à l'autre partie du monde entier sous prétexte que ceux-ci vont imposer leur critère à ceux-là. La chose est bien claire: la confusion est une arme redoutable. Au milieu du bruit provoqué par les secteurs contraires au mariage entre personnes du même sexe, l'opinion publique, très manipulable, eut l'impression que cette loi imposait le mariage entre mecs, punissait les hétérosexuels, obligé le curés à épouser leurs couples (ils en ont, souvent),... bref, la fin du monde entier. La surprise est que, huit ans plus tard, le monde tourne au même rythme sans ou avec des gays mariés, ce qui contraste avec la situation dans d'au

ET SI C'ÉTAIT LUI?

Avant de me punir, écoutez moi: tout le monde sait que DSK ne brille pas pour ses qualités morales, son comportement civique et sa bonhommie. Cela étant dit, on ne juge pas la vie privée et longuement publiée du citoyen, mais la vision claire qu'il avait sur les événements économiques qui ont secoué nos deux pays, la France un peu, l'Espagne beaucoup, et toute l'Europe, le monde et l'univers. La semaine dernière, quelqu'un disait que la déplorable affaire sexuelle a caché une réalité qui nous touche tous, car d'après certains économistes bien réputés, l'ex-responsable du FMI aurait prévu et critiqué les manoeuvres qui ont déclenché cette crise, et cela étant président de l'institution monétaire et ferme candidat à présider la République. Voilà ce qu'on appelle "l'autre" affaire DSK. J'insiste: son abject délit, l'accord avec sa victime et la froideur criminelle qu'il montre à la télé ne doivent pas être un argument po